Le secteur automobile marocain continue de croître malgré les crises persistantes induites par la Covid-19. L’industrie automobile a vu la signature de deux mémorandums concernant la création de quatre nouvelles usines.
Moulay Hafid Elalamy, Ministre de l’industrie, du commerce et de l’économie et numérique, a présidé la cérémonie de signature à Casablanca. Les accords impliquent un investissement de 912 millions de dirhams et devraient créer au moins 8 300 emplois.
Les investissements concernent la construction de nouvelles usines de faisceaux de câbles industriels pour deux groupes japonais, Yazaki et Sumitomo.
Yazaki investira 462 millions de dirhams dans la construction de trois nouvelles usines à Tanger, Kénitra et Meknès, créant 6 300 nouveaux emplois. Sumitomo, pour sa part, s’est engagé à investir 450 millions de dirhams pour ouvrir sa cinquième usine à Casablanca.
Le nouveau projet est conçu pour répondre à une demande croissante, créant 2 000 emplois supplémentaires.
Yazaki investira 462 millions de dirhams dans la construction de trois nouvelles usines à Tanger, Kénitra et Meknès, créant 6 300 nouveaux emplois. Sumitomo, pour sa part, s’est engagé à investir 450 millions de dirhams pour ouvrir sa cinquième usine à Casablanca.
Le nouveau projet est conçu pour répondre à une demande croissante, créant 2 000 emplois supplémentaires.
«Sous la direction du [roi Mohammed VI], le Maroc est en passe de devenir le hub automobile le plus compétitif au monde. Nous avons l’intention de poursuivre sur cette lancée en améliorant l’intégration profonde de nos écosystèmes et en « décarbonant » la production industrielle », a déclaré Elalamy.
Faisant écho aux conclusions de l’étude, Elalamy a souligné que «le Maroc continue d’atteindre cet objectif stratégique en améliorant le niveau d’intégration profonde de nos systèmes industriels et en passant à une production industrielle sans carbone».
En septembre de l’année dernière, le ministre a déclaré dans une interview que le Maroc avait l’intention de profiter pleinement des opportunités offertes par la crise du COVID-19. Le Maroc, a-t-il soutenu, peut devenir l’un des pôles automobiles les plus compétitifs au monde.